À Likasi, les habitants et propriétaires de véhicules vivent un véritable calvaire en raison de la pénurie d’essence qui sévit actuellement dans la région. La majorité des stations-service sont fermées, faute d’approvisionnement en carburant. Aucune explication officielle n’a encore été fournie pour justifier cette crise.

Seuls quelques revendeurs informels, surnommés « Kadhafi », disposent encore de stocks et tentent de vendre leur essence au plus offrant. Cette situation a entraîné une flambée des prix des transports en commun, avec des tarifs passant de 500 à 2000 FC, selon les destinations. Une situation qui plonge la population dans l’inquiétude, certains n’ayant d’autres choix que de se résigner face à cette hausse vertigineuse.

Seuls quelques revendeurs informels, surnommés « Kadhafi », disposent encore de stocks et tentent de vendre leur essence au plus offrant. Cette situation a entraîné une flambée des prix des transports en commun, avec des tarifs passant de 500 à 2000 FC, selon les destinations. Une situation qui plonge la population dans l’inquiétude, certains n’ayant d’autres choix que de se résigner face à cette hausse

                    Douglas Nkol MWANANGANA